À l’époque médiévale, de petits quais accueillaient quelques bateaux au « grand portalet » et au « portalet du Sel », dont le commerce, provenant des salines méditerranéennes, contribuait depuis l’antiquité à la prospérité de la ville.
A l’époque, le fleuve reste malgré sa nature imprévisible et ses forts courants, une voie privilégiée de communication.
Au XIXème siècle, les litiges entre la ville et les négociants, les petits bateliers et leurs concurrents, les compagnies de navigation à vapeur, se multiplient pour l’utilisation des quais.